Création de l'AIPPh en 1974

Eduard FEY (1900-1994 ) (†)

AIPPh Président

(NL) Marcel FRESCO (1925-2011) (†) 1971-1985

(A) Erich MOLL, 1985-1998

(B) Herman LODEWYCKX, 1998-2006; 2012-2019

(D) Werner BUSCH, 2006-2012

(D) Gabriele OSTHOFF-MÜNNIX, 2012-2019     Vice-Président, 2019-2023

(I) Riccardo POZZO, 2023

Président d’honneur

(NL) Marcel FRESCO (†) 1971-1985

(D) Werner BUSCH

(D) Gabriele OSTHOFF-MÜNNIX

Membre Honoraire

(D) Luise DREYER (1929-2018) (†) ancien trésorier

(D) Edgard FUHRKEN ancien trésorier

( (I) Riccardo SIRELLO ancien secrétaire général


Histoire et activités de l'AIPPh

1. la Déclaration de Paris sur la philosophie
En 1995, l'UNESCO a organisé une réunion de philosophes sur le thème "Philosophie et démocratie dans le monde" qui a abouti à une déclaration dans laquelle 22 experts de différents pays soulignent l'importance de l'éducation philosophique mondiale, car "la réflexion philosophique contribue non seulement à la compréhension de l'être humain et de certaines de ses attitudes, mais aussi à la connaissance des traditions de pensée dans différentes cultures". Une culture de la libre discussion dans laquelle on clarifie les concepts et on examine les arguments créerait une atmosphère de respect et conduirait à une pensée indépendante. Par conséquent, l'enseignement de la philosophie favoriserait "l'ouverture d'esprit, la responsabilité civique, la compréhension et la tolérance entre les individus et les groupes", ce qui permettrait de mieux résister aux différentes formes de propagande et de mieux assumer ses responsabilités face aux grandes questions du monde actuel, notamment dans le domaine de l'éthique.[1]

Cette déclaration qui aurait pu être la nôtre fut la bienvenue dans notre association où les enseignants de philosophie dans les écoles et les universités se sont efforcés depuis longtemps d'influencer la société en faveur de leur discipline, ont échangé leurs expériences et leurs problèmes et ont eu l'occasion d'apprendre les uns des autres. En particulier, "l'espoir que la philosophie ne soit pas subordonnée aux exigences économiques, techniques, religieuses, politiques ou idéologiques dominantes" reste important pour les enseignants de philosophie dans les écoles et les universités, de sorte que "l'enseignement de la philosophie devrait être soutenu ou étendu là où il existe déjà, être introduit là où il n'existe pas encore, et être aussi explicitement désigné comme "philosophie". [2]

Pour que leurs étudiants atteignent un niveau satisfaisant, les professeurs de philosophie des universités devraient pouvoir compter sur des enseignants du secondaire capables de transmettre à leurs élèves non seulement des connaissances fondamentales et de stimuler une culture de l'argumentation, mais aussi un enthousiasme pour l'histoire et les problèmes de la pensée qui ont occupé les philosophes à travers les siècles. Cela ne se fait pas dans une tour d'ivoire : la pensée philosophique a fait bouger le monde en développant par exemple les idéaux démocratiques, les droits de l'homme, les Lumières et a même conduit à des révolutions - au nom d'une idée de justice. Elle a aussi un rôle important à jouer dans la perspective d'un avenir digne d'être vécu, par exemple dans le développement de lignes directrices dans le domaine de l'éthique appliquée à un monde où la vie est en évolution constante.

Outre l'échange professionnel, nous cultivons également l'échange d'idées méthodologiques (et les professeurs d'université y sont souvent très intéressés) qui permettent de préparer les contenus de manière motivante et méthodiquement habile, de telle sorte que les étudiants ne se contentent pas d'accumuler des connaissances, mais se laissent attirer par une confrontation engagée avec des problèmes philosophiques sans qu’ils ne s'imprégnent des textes de manière uniquement réceptive et sans participation intérieure. Il existe bien sûr des différences parmi les directives de chaque pays dues à des cultures didactiques différentes, e qui n’empêche pas d'avoir un échange stimulant à ce sujet. Dans certains pays, l'enseignement est strictement orienté vers l'histoire et les textes alors que d'autres choisissent une approche orientée vers les problèmes sans se limiter aux textes classiques mais en utilisant d'autres médias selon l'âge des élèves, comme par exemple des articles de journaux, des images, des expériences de pensée, des esquisses de structure, le mindmapping, la technique du métaplan, les procédés de table-set, les discussions Fishbowl, etc. C'est pourquoi nous avons appris qu'il est stimulant de regarder au-delà de la barrière du jardin et de voir comment et avec quelles méthodes et médias l'enseignement de la philosophie se déroule dans d'autres cultures didactiques. C'est précisément ce que nous cherchons à faire depuis des décennies, en plus de l'échange professionnel et quels que soient les changements.

2. Vingt ans plus tôt
En 1974 déjà, le philosophe néerlandais M.Marcel Fresco avait fondé à Bruxelles une "Association Internationale des Professeurs de Philosophie" (AIPPh) en tant qu'association de droit belge. (Nous avons conservé le terme français de "professeur", car il désigne les enseignants des écoles et des universités, les deux secteurs auxquels nous nous adressons, indépendemment des frontières).

M. Fresco avait émigré aux Pays-Bas en 1933 après avoir enseigné à l'école européenne de Bruxelles avant d'obtenir un poste [3] de professeur à Leyde, tout en continuant à s'intéresser à la philosophie avec les enfants. Il est devenu le premier président de l'AIPPh à une époque où les pays européens se rapprochaient les uns des autres pour éviter toute guerre à l'avenir. Même à un âge avancé, Fresco était un penseur chaleureux et vif qui avait à cœur de travailler avec d’autres.
Vu qu’il était important de susciter un sentiment de communauté ("donnez une âme à l'Europe !" avait demandé M.Jacques Delors), il semblait nécessaire que l’Europe prenne conscience de ses racines communes, par exemple celles de la philosophie grecque et de l'histoire intellectuelle commune, attestées par des développements fructueux entre les pays : il y avait des influences réciproques. Ainsi, la première déclaration des droits de l'homme a eu lieu en France, après la Dispute de Valladolid en Espagne (les habitants du Nouveau Monde étaient-ils esclaves par nature ou disposaient-ils de certains droits à la naissance?), mais ces deux événements n'auraient pas été possibles sans le traité de Pico della Mirandola sur la dignité humaine dans l'Italie de la Renaissance, traité qui lui-même se référait à l'Antiquité grecque, dont les textes n’auraient pu être connus de nos jours sans leurs traductions arabes puis latines. Au fil du temps, nous pouvons donc observer un concert polyphonique de l'histoire de la pensée, pas seulement européenne, qui a souvent favorisé le développement de valeurs communes et qui fait aujourd'hui partie intégrante de l'éducation philosophique. [4]

Mais l'AIPPh n'aurait pu voir le jour si un professeur de philosophie allemand du nom de M.Eduard Fey, qui a ensuite rejoint l'inspection de Münster, n'avait pas organisé dès 1959 une rencontre entre des professeurs de philosophie de France, d'Italie, d'Autriche, d'Allemagne et de Suisse. Des réunions à Milan, Sèvres, Vienne et Bruxelles ont suivi et ont conduit à la création de l'association de droit belge décrite ci-dessus à Bruxelles, ceci à une époque où tout le monde s'attendait à ce que Bruxelles devienne la capitale de l'Europe. Ainsi, à ce moment-là, l'accent était mis sur l'Europe qui était bien sûr plus petite qu'aujourd'hui. A l'époque de l'ancienne trésorière M.me Luise Dreyer (1929-2018), l'AIPPh a pu s'ouvrir aux pays d’Europe de l'Est, devenus accessibles après avoir été derrière le "rideau de fer". Après la chute du mur, elle a reçu un soutien financier massif de la part du ministère allemand de la science et de l'éducation qui a également établi des contacts avec les ministères de l'éducation des pays d'Europe de l'Est. L'intention était bien sûr de diffuser les traditions de pensée libérales et démocratiques. [5]
Mais, pour nous et à l'époque, il s'agissait surtout d'éliminer les préjugés de part et d'autre. Nous avons pu parler librement de notre discipline commune et des conditions générales dans les différents pays, échanger des idées pour un meilleur enseignement dans les écoles et les universités et pour de meilleurs programmes d'études. Beaucoup d'entre nous ont pu exercer une influence.

3. Congrès et publications
Lors de nos réunions annuelles, nous utilisons généralement trois langues : l’anglais, l’allemand et souvent le français, en nous efforçant de fournir des traductions. Une réunion près de Leipzig (ex-RDA), peu après la chute du mur de Berlin, a été vraiment passionnante : chaque petit village, même en ruine, disposait d'une vidéothèque et d'une agence de voyage, les voyages et les films étrangers n'étant plus interdits. C'est à cette époque que M.me Luise Dreyer a commencé à publier "Europa Forum Philosophie" en tant que périodique pour nos membres (parfois même deux fois par an), afin de rendre compte des activités au sein de l'AIPPh, d'abord à compte d'auteur.
Le plus grand événement de tous a été un congrès organisé en 1994 au monastère de Banz en Bavière. Près de 200 participants de 20 pays étaient réunis, car un sponsoring généreux permettait de loger et de nourrir gratuitement les participants des anciens pays socialistes et de leur payer le voyage. M. Pekka Elo, récemment décédé et originaire d'Helsinki, responsable de la philosophie au ministère finlandais de l'éducation, a ensuite organisé une conférence sur la philosophie du langage à l'université d'Helsinki, à l'issue de laquelle les intervenants ont pris le bateau pour l'Estonie, où ils ont suggéré à l'institut de philosophie de Tallin des ouvrages de référence de philosophes "occidentaux" à acquérir, alors que pendant longtemps seuls ceux d'inspiration marxiste-léniniste avaient été autorisés. Par l'intermédiaire de M.Pekka Elo, nous avons également participé en tant que jurés aux Olympiades internationales de philosophie (IPO), l'étape qui suit les concours nationaux de dissertation philosophique.
A Prague, nous avons fêté les 400 ans de Descartes en organisant un congrès à l'Académie des sciences de la République tchèque, un bâtiment extrêmement impressionnant situé près de la Vltava, juste à côté de l'Opéra. A l'occasion d'un congrès à Leusden près d'Utrecht, nous avons découvert un hôtel de philosophie dont chaque chambre portait le nom d’un philosophe. Tous ces congrès sont et ont été l’occasion de présenter des idées lors de conférences et d'ateliers, de participer à des discussions, et bien sûr d'échanger des expériences, de nouer des contacts avec des collègues spécialistes d’au-delà des frontières, contacts qui sont souvent devenus amitiés.

4. Au-delà de l'Europe
Aujourd'hui, nous pouvons identifier une troisième phase de notre développement : à l'époque de la mondialisation de la philosophie, nous nous sommes développés au-delà de l'Europe. Par exemple, grâce à notre président d'honneur M.Werner Busch, nous sommes désormais membre corporatif de la FISP (Fédération Internationale des Sociétés Philosophiques) et pouvons nouer de nouveaux contacts lors des congrès mondiaux de philosophie qui ont lieu tous les cinq ans. Depuis le congrès mondial d'Athènes, notre président d'honneur est également l'un des présidents de la section "Teaching Philosophy" lors des congrès mondiaux. [6]
Ce Congrès mondial d'Athènes a réuni 3000 philosophes du monde entier qui, à la fin de la première journée passée dans le théâtre antique d'Hérode Attikos, juste à côté de l'Acropole, ont été accueillis par le Premier ministre grec et le président mondial de l'époque, M. William McBride, avant qu'un ballet et l'orchestre symphonique d'Athènes ne commencent une représentation en plein air qui s'est terminée par un sirtaki endiablé. Mais l'essentiel était bien sûr les conférences et les ateliers extrêmement stimulants en huit langues, ainsi que l'occasion de nouer de nombreux contacts intéressants. A l'occasion de notre 40ème anniversaire, un grand congrès a été organisé à Bonn-Bad Godesberg. Les intervenants, venus notamment du Japon, de Tunisie, de Pologne et d'Amérique, ont contribué à la réflexion selon d'autres structures linguistiques, par exemple en japonais et en arabe. Cela a donné lieu à deux publications, l'espace disponible dans notre bulletin annuel n'étant pas suffisant: les contributions plus axées sur la pratique ont été publiées dans notre bulletin "Europa Forum Philosophie 65", à l'époque déjà aux éditions Traugott Bautz, tandis que les contributions plus théoriques en anglais et en allemand sur la philosophie de la traduction ont été publiées aux éditions Karl Alber Freiburg. [7]

Les membres de notre comité actuel proviennent de Bulgarie, Pologne, Norvège, Hollande, Suisse, Italie, Tunisie, Russie et Allemagne ; la dernière assemblée générale a décidé à l'unanimité d'adapter le titre de notre bulletin par lequel nous sommes entrés sur le marché du livre, tout en conservant sa numérotation progressive. Il s'appelle désormais "Forum Philosophie International", il paraît une fois par an et est gratuit pour les membres de l’association. Nous espérons qu'il sera présent dans les bibliothèques universitaires et autres, car il convient parfaitement comme base pour des séminaires sur les thèmes traités.

Aujourd'hui, c’est par le biais d'une lettre d'information électronique semestrielle que nous informons nos membres de nos activités et de ce qui est intéressant dans le domaine de la philosophie, comme par exemple notre projet COMET ("Community of Ethic Teachers in Europe") dans le cadre d'un projet Erasmus+, lancé par nos collègues hollandais lors d'un de nos congrès à l'université de Lodz (Pologne). Nous travaillons également sur un projet entre 6 universités de différents pays sur le thème du "populisme" que nous sommes invités à présenter lors du prochain congrès mondial à Rome en 2024, l'année de notre 50ème anniversaire.


5. Nouveaux développements et tâches
Et il y a encore d'autres changements : après l'expiration de notre accréditation en tant qu'association de droit belge, l'AIPPh a désormais été refondée en tant qu'association d'utilité publique de droit allemand. Nous avons dû fournir à cet effet de nouveaux statuts qui s'inspiraient bien sûr des anciens, mais où nous avons inclus la référence à la Déclaration de Paris pour la philosophie mentionnée plus haut, ce qui a été décisif pour obtenir le statut d'utilité publique en Allemagne. Nous pouvons désormais accepter des dons à utiliser en conformité avec nos statuts, ce qui, en Allemagne, permet de réduire les impôts. Les 17 membres fondateurs de notre nouvelle/ancienne AIPPh proviennent de 17 pays : Finlande, Pologne, Norvège, Bulgarie, Allemagne, Pays-Bas, Italie, Russie, Croatie et Slovénie. Et comme l'époque du Corona-virus nous a rendus plus attentifs au fait que les universités et les sociétés philosophiques ont accru leur activité numérique, nous avons ouvert un compte twitter dans lequel nous souhaitons attirer leur attention sur tel ou tel événement et sur nos propres publications.

Comme notre congrès prévu à l'université d'Utrecht a dû être annulé pour cause de pandémie, nous avons ajouté un congrès annuel ZOOM, non seulement pour bénéficier d'une plus grande participation des membres, mais aussi pour pouvoir dialoguer au-delà des frontières. Un groupe de membres sur trois continents a travaillé à une déclaration sur l'éthique de la nature qui a été ouverte à la signature lors d'un congrès suisse sur ce thème et transmise à l'UNESCO. Nous sommes également à la recherche de nouveaux membres intéressés qui nous aideront à poursuivre notre travail à l'avenir, bien que, ou peut-être justement parce que les conditions générales ont changé dans différents pays. Ainsi, par exemple, dans certains Länder allemands, à l'âge d'or de l'enseignement de la philosophie au lycée, il était possible de choisir, en plus des cours de base, des cours de philosophie de haut niveau de 5 à 6 heures par semaine, comparables aux cours de niveau A(advanced) des anciennes grammar schools anglaises, avec des cours semestriels d'anthropologie, d'épistémologie, d'éthique, de philosophie politique, etc. Aujourd'hui, les universités ne peuvent que rêver d'avoir de telles connaissances préalables car, compte tenu de la centralisation des examens du baccalauréat et de l'augmentation du nombre d'épreuves obligatoires, il reste moins de temps pour insérer des matières optionnelles dans le secondaire supérieur. D'autres matières dans lesquelles la réflexion est moins importante - comme les matières MINT - sont considérées comme plus importantes , et c'est pourquoi nous devons continuer à lutter pour l'importance de notre matière, afin de faire prendre conscience de la valeur de l'éducation philosophique et de la réflexion guidée par la méthode. Ces dernières font partie de notre patrimoine culturel et peuvent contribuer à un avenir meilleur et plus pacifique. En effet, la force des arguments et des méthodes d'examen critique en vue de développer des capacités de réflexion autonomes peuventt aider à prévenir la violence et à rendre les personnes moins vulnérables face aux fake news, aux théories du complot et à l'endoctrinement politique. C'est cette culture de la réflexion que nous voulons promouvoir dans tous les pays.
(Dr. Gabriele Osthoff-Münnix, Novembre 2022)

  1. Roger-Pol Droit, Philosophy and Democracy in the World, UNESCO Publishing, Paris 1995, S. 15ff (s. auch https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000104173) 
  2. Ibid. 
  3. For more details concerning our history see Werner Busch, L’Association Internationale des Professeurs de Philosophie. Histoire et Actualité, in: Diotime 86 (2020) , see www.educ-revues.fr/diotime/ and Franz Schüppen, The AIPPh in the Era of Luise Dreyer, in: Europa Forum Philosophie (EUFPh) 61 (eds. Werner Busch/ Edgar Fuhrken), Kiel 2010, pp.27-39. 
  4. More detailed in Gabriele Münnix, L’identità europea e l’educazione filosofica, in: Communicazione Filosofica 45 (2020), p. 81-101 (Italian and German version), see https://www.sfi.it/files/download/Communicazione%20Filosofica/cf45.pdf 
  5. Werner Busch, L‘AIPPh- Histoire et Actualité, loc.cit. 
  6. Documentation in Pekka Elo and Juha Savolainen (eds.), Reports from the Department of Philosophy, University of Helsinki 1/95. 
  7. Documentation in Univerzita Karlova/ Akademie věd České republiky (eds.), Filosofické dílo René Descartesa, Prag 1998. 
  8. Werner Busch, Der Weltkongress der Philosophie „Learning to Be Human“ in Peking 2018 und die AIPPh, in: Europa Forum Philosophie 68 „Identity“ (ed. Gabriele Münnix/ Natascha Kienstra/Bernd Rolf), Nordhausen 2019, pp. 12-19 (ISBN 978-3-95948-404-6)
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